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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 13:45

Hier, au hasard de mes promenades automobiles (oui, messieurs-dames les écolos, je me déplace en voiture et je vous emmerde), je passai devant une école. Sur la chaussée, en très très gros caractères, je pouvais lire : « École – Danger ». Et je ne pus m’empêcher alors de penser à ces écoles dont la fréquentation est, en effet, devenue dangereuse depuis que l’alcool, la drogue, les armes y circulent librement. Je sais qu’il est politiquement incorrect de faire un rapprochement entre le déferlement de cette violence presque quotidienne avec son cortège de bagarres rangées, de viols et de meurtres qui impliquent des lycéens et des collégiens de plus en plus jeunes et la profusion de scènes de grande violence qui prolifèrent aussi bien au cinéma que sur internet et ses nombreux relais.

 

Nous savons d’où vient cette banalisation de la violence. C’est la raison pour laquelle, au nez et à la barbe de tous les salopards qui gouvernent le monde et de tous les abrutis qui les suivent, J’ACCUSE les États-Unis de pourrir le monde avec leur cinéma stupide qui, à peu d’exceptions près, ne sait qu’exalter la violence et la répandre dans un monde vassalisé. Que pourrions-nous attendre d’une peuplade qui, selon le jugement d’Einstein, est passée de la barbarie à la décadence sans connaître la civilisation ?

 

Est-ce qu’un jour un gouvernement, ici ou ailleurs, aura le courage de CENSURER ce cinéma morbide et d’interdire la vente de ces jeux vidéo (venus, eux-aussi, des États-Unis mais souvent aussi du Japon, leur premier vassal), qui désaxent la jeunesse du monde entier et nous préparent une société uniformisée dans laquelle régnera sans partage l’inculture, la langue unique, le cinéma unique et… la pensée unique ?

 

Maudits soient ces chefs d’état et de gouvernement qui se font, volontairement ou non, complices de cet avenir (moins lointain qu’on le croit) où un nouvel obscurantisme mouchera une à une les lumières encore vacillantes par-ci par-là.

 

Oui, en ce domaine particulier, J’ACCUSE les États-Unis, je persiste et je signe : Yves-Fred Boisset.

 

 

 

 

 

 

 

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